lundi 29 octobre 2018
mercredi 24 octobre 2018
dimanche 21 octobre 2018
Diagnostique du reflux gastro-œsophagien
Algorithme Diagnostique du reflux gastro-œsophagien
Le reflux gastro-œsophagien (RGO) est défini comme l’ensemble
des symptômes gênants ou des complications liées au
passage du contenu gastrique dans l’œsophage. Il existe de
manière physiologique des remontées épisodiques de liquide
gastrique au contact de la muqueuse œsophagienne, asymptomatiques
; on parle de « reflux gastro-œsophagien » lorsqu’elles
occasionnent des symptômes et/ou des lésions muqueuses.
Mots Clés en rapport avec le reflux gastro oesophagien
reflux bébé, reflux biliaire, reflux vesico ureteral, reflux interne, reflux gastrique et toux, reflux gastro oesophagien cause, reflux acide, reflux alcalin, reflux allaitement, reflux adulte, reflux apres repas, reflux alimentation...
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samedi 20 octobre 2018
Hémorragie digestive l’hypertension portale : Prise en charge
Prise en charge de l’hémorragie digestive liée à l’hypertension portale
vendredi 19 octobre 2018
Prise en charge des spondyloarthrites
Algorithme global de la prise en charge des spondyloarthrites
suivant les recommandations de la Société française de rhumatologie
* actuellement en première intention en général ;
** dans certains cas particuliers.
AINS : anti-inflammatoires non stéroïdiens ;
csDMARD : conventional synthetic disease-modifying antirheumatic drugs ;
IL : interleukine ;
MTX : méthotrexate ;
PDE4i : phosphodiesterase 4 inhibitor ;
TNF : tumor necrosis factor.
** dans certains cas particuliers.
AINS : anti-inflammatoires non stéroïdiens ;
csDMARD : conventional synthetic disease-modifying antirheumatic drugs ;
IL : interleukine ;
MTX : méthotrexate ;
PDE4i : phosphodiesterase 4 inhibitor ;
TNF : tumor necrosis factor.
lundi 15 octobre 2018
interprétation de Scanner Thoracique: Diagnostic des Pneumopathies et fi...
interprétation de Scanner Thoracique: Diagnostic des Pneumopathies et fibroses
dimanche 14 octobre 2018
Principaux anticorps recherchés dans le bilan d'une neuropathie périphérique
Principaux anticorps recherchés dans le bilan d'une neuropathie périphérique.
AMAN : acute motor axonal neuropathy ; PCB : pharyngo-cervico-brachial ; NMM : neuropathie motrice multifocale avec blocs de conduction ; CANOMAD : chronic ataxic
neuropathy ophthalmoplegia IgM paraprotein cold agglutinins and anti-disialosyl antibodies ; CANDA : chronic ataxic neuropathy, ophthalmoplegia disialosyl antibodies ;
PIDC : polyradiculoneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique ; FGFR3 : anti-fibroblast growth factor receptor 3.
samedi 13 octobre 2018
vendredi 12 octobre 2018
jeudi 11 octobre 2018
Principales causes d’ictère du nouveau-né
Principales causes d’ictère du nouveau-né
Ictère du nouveau-né
La survenue d’un ictère en période néonatale concerne plus
de 50 % des enfants nés à terme et la quasi-totalité des enfants
nés prématurément. Il s’agit le plus souvent d’un ictère banal, dit
physiologique, survenu après les 24 premières heures de vie et ayant disparu à la fin de la première semaine ; le pic de bilirubine
est atteint le troisième ou quatrième jour de vie, le taux ne dépasse
pas 250 à 280 µmol/L (15 mg/dL). Actuellement, la progression du
taux d’allaitement maternel et la diminution des séjours mère-enfant
en maternité constituent des facteurs de risque d’ictère sévère du
nouveau-né, dont les conséquences neurologiques sont connues
depuis longtemps (ictère nucléaire) et incitent les professionnels à
une plus grande vigilance afin d’éviter une recrudescence des ictères
sévères du nouveau-né.
Un ictère est toujours pathologique :
– s’il est apparu avant H24 ;
– et/ou s’il se prolonge après J10 (sauf ictère au lait de mère).
Vidéo sur ICTÈRE: jaunisse Physiopathologie Causes chez Bébé et Adulte
mercredi 10 octobre 2018
Arbre diagnostique des vomissements de l’enfant
Arbre diagnostique des vomissements de l’enfant
APLV : allergie aux protéines du lait de vache ;
ASP : radiographie de l’abdomen sans préparation ;
GEA : gastro-entérite aiguë ; I
IA : invagination intestinale aiguë ;
HTIC : hypertension intracrânienne ; $
HSD : hématome sous-dural ;
ORL : oto-rhino-laryngée ;
PNA : pyélonéphrite aiguë ;
PnP : pneumopathie.
Les Mots clés en relation avec cette Photos:
vomissements bebe vomissements causes vomissements incoercibles vomissements bilieux vomissements et fièvre vomissements apres repas vomissements apres choc tete vomissements après chute vomissements au réveil vomissements avec sang vomissements acide vomissements alimentaires vomissements avant les règles vomissements aigus vomissements angine vomissements à répétition vomissements à l'effort vomissements à répétition que faire vomissements à jeun vomissements a chaque repas vomissements bilieux chez l'adulte vomissements bébé sans fièvre difficile vomissements c quoi des vomissements vomissements diarrhée vomissements de bile vomissements de selles vomissements diarrhée fièvre vomissements de glaires vomissements du nouveau né vomissements d'origine neurologique vomissements d'un bebe vomissements d'origine centrale vomissements d'angoisse vomissements d'un bébé de 6 mois vomissements en jet vomissements et vertiges vomissements et maux de tête vomissements et diarrhée adulte vomissements et maux de ventre vertiges diarrhée et vomissements nausées et vomissements vertiges et vomissements causes toux et vomissements fièvre et vomissements règles et vomissements diarrhée et vomissements adulte vomissements huiles essentielles vomissements hypokaliémie vomissements hernie hiatale vomissements has vomissements hypoglycémie vomissements huitres vomissements hyponatrémie vomissements hypertension vomissements hoquet intoxication alimentaire vomissements itératifs incessants vomissements incoercibles définition vomissements inexpliqués vomissements indigestion vomissements insolation vomissements intempestifs vomissements jaune fluo vomissements jaunes grossesse vomissements jet bébé vomissements jaunatres vomissements jaunes et amer vomissements jets vomissements jaune vert j'ai des vomissements le matin vomissements kaliémie vomissements et kaliemie vomissements le matin vomissements liquide jaune vomissements le soir vomissements liquide noir vomissements la nuit vomissements lait maternel vomissements lors des règles vomissements le matin au reveil vomissements lendemain alcool vomissements le matin à jeun eviter les vomissements l'origine des vomissements vomissements matinaux omissements marron vomissements maux de tête vomissements medicament vomissements maux de ventre vomissements migrainef vomissements matin vomissements mal de dos vomissements maux de tete et ventre vomissements mousse blanche vomissements noirs vomissements nocturnes vomissements nourrisson vomissements nausées vomissements noiratre vomissements nerveux vomissements noirs causes vomissements neurologiques vomissements orange vomissements oreille interne vomissements odeur oeuf pourri vomissements ou regurgitations vomissements occlusion intestinale otite vomissement vomissements oesophage vomissements orientation diagnostique vomissements post prandiaux vomissements psychogènes vomissements poussee dentaire vomissements persistants vomissements provoqués vomissements par le nez vomissements perte de poids vomissements psychologiques vomissements que manger vomissements quoi manger vomissements quotidiens vomissements qui ne s'arrêtent pas vomissements quand consulter vomissements quand s'inquieter vomissements que prendre vomissements que boire vomissements quoi faire vomissements répétés adulte vomissements reguliers vomissements répétitifs vomissements remede vomissements répétés conséquences vomissements repetes bebe vomissements répétitifs chez l'adulte vomissements sang vomissements sans fièvre vomissements selles vomissements stress vomissements sueurs froides vomissements sanglants vomissements sans arret vomissements sans nausées vomissements traitement naturel vomissements ulcere estomac vomissements urgences vomissements verts vomissements vertiges vomissements yeux rouges vomissement yeux jaunes, vomissements et yeux jaunes vomissements et yaourt zona zinc gastro vomissements 4 ans nourrisson 5 mois apres repas
samedi 6 octobre 2018
Fruits et légumes et cancers
Fruits et légumes et cancers
La consommation de légumes et de fruits est probablement associée à une diminution du risque de cancer de la bouche, du pharynx, du larynx, de l’œsophage, de l’estomac et du poumon (pour les fruits seulement).La diminution serait due aux micronutriments et microconstituants et à leurs effets antioxydants, modulateurs du métabolisme des xénobiotiques, immunostimulants, antiprolifératifs, modulateurs de la concentration des hormones stéroïdes et du métabolisme hormonal, etc.
De plus, la consommation de légumes contribue de manière probable à diminuer le risque de prise de poids, de surpoids et d’obésité, eux-mêmes facteurs de risque de plusieurs cancers.
En France, la consommation de fruits et légumes des adultes est actuellement en moyenne de 283 g/j (144 g de fruits et 139 g de légumes hors pommes de terre).
Une proportion élevée de la population adulte a une consommation insuffisante de fruits et légumes : 57 % des adultes consomment moins de 5 portions de fruits et légumes par jour et 35 % moins de 3,5 portions par jour.
Activité physique le Sports et cancers
Activité physique et cancers
L’association de l’activité physique et d’une diminution du risque de cancer est jugée convaincante pour le cancer du côlon de 20 à 30 % dans les deux sexes, et probable pour le cancer du sein et de l’endomètre.La diminution du risque de cancer de la prostate, du poumon ou de l’ovaire est possible mais moins certaine.
Les données sont insuffisantes pour les autres cancers.
L’effet bénéfique de l’activité physique sur le risque de cancer peut être dû à son rôle, démontré par des études randomisées, dans la diminution de l’adiposité en particulier abdominale, de l’insulinorésistance, de l’estradiolémie en postménopause et de la leptine, et dans la régulation de l’apoptose (mort cellulaire programmée), tous mécanismes impliqués dans la cancérogenèse colique, mammaire et endométriale.
De plus, l’inactivité physique, définie non pas comme l’absence d’activité physique, mais comme le temps passé à être assis (travail assis, télévision, ordinateur, voiture) ou allongé éveillé, aurait un effet délétère propre.
En effet, dans de nombreuses études de cohorte, ces activités sédentaires sont associées à une augmentation de certains risques indépendamment de l’activité physique, et donc même chez des personnes respectant ou dépassant largement les recommandations du Programme national nutrition santé (PNNS).
Cette association est convaincante pour l’augmentation du risque de diabète et de mortalité toutes causes dont cardiovasculaire, mais moins certaine pour l’augmentation du risque d’obésité-surpoids, d’obésité abdominale ou de cancers, ou pour l’accroissement de la mortalité par cancer.
Plusieurs études concordent à montrer une réduction d’un tiers environ de l’insulinosensibilité dès quelques heures de position assise ininterrompue, cela probablement par diminution de la lipoprotéine lipase musculaire. Or, celle-ci, diminuée par l’activité sédentaire, n’est pas augmentée par l’activité physique, ce qui expliquerait l’effet délétère propre de l’activité sédentaire.
L’évolution des modes de vie a entraîné une diminution importante de l’activité physique, tant au travail que pendant les loisirs (télévision, ordinateur) ou les déplacements (voiture). Une étude récente révélait qu’en France, 21 à 37 % des adultes de 18 à 74 ans n’atteignent pas un niveau d’activité physique équivalent à 30 minutes d’activité modérée par jour (par exemple la marche) 5 jours par semaine, qui sont les recommandations du PNNS.
Seulement 45 % des adultes font plus de 10 minutes par jour en moyenne d’activité physique.
En France, environ 10 % des cas de cancers du sein et du côlon seraient évités et la durée de vie serait augmentée de 0,55 (0,44 -0,67) année si tous appliquaient les recommandations du PNNS (une fois pris en compte l’effet propre d’autres facteurs de risque tels l’obésité ou le tabac, qui peuvent varier selon les niveaux d’activité physique tout en influant par euxmêmes sur les risques).
Références:
ObEpi. Enquête épidémiologique nationale sur le surpoids et l’obésité, 2012. http://www.roche.fr/home/recherche/domaines_ therapeutiques/cardio_metabolisme/enquete_nationale _obepi_2012.html 8. Winzer BM, Whiteman DC, Reeves MM, Paratz JD. Physical activity and cancer prevention: a systematic review of clinical trials. Cancer Causes Control 2011;22:811-26. 9. Inserm, Expertise collective. Activité physique Contextes et effets sur la santé, 2008. http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/084 000534/0000.pdf 10. Programme National Nutrition Santé (PNNS), 2013. www.mangerbouger.fr/pnns/ 11. Saunders TJ, Larouche R, Colley RC, Tremblay MS. Acute sedentary behaviour and markers of cardiometabolic risk: a systematic review of intervention studies. J Nutr Metab 2012;2012:712435.
vendredi 5 octobre 2018
Prix Nobel 2018 de Médecine L'immunothérapie contre le Cancer
Le prix Nobel de Médecine a été attribué, , à l'Américain James Allison et au Japonais Tasuku Honjo qui ont découvert les points de contrôle de la réponse immunitaire ayant permis de mettre en place une thérapie efficace à certains types de cancer.
Les origines La molécule CTLA-4 a été identifiée dans le cadre d’une recherche de molécules impliquées dans la fonction cytotoxique. Une approche faisant le pari d’une corrélation, même imparfaite, entre expression et fonction a été de rechercher des gènes exprimés préférentiellement dans des cellules T cytotoxiques.
Dans le cas de la stimulation des lymphocytes T, la reconnaissance antigénique est assurée par le récepteur pour l’antigène (TcR) - appelé signal 1 - et les molécules de costimulation optimisent les signaux transmis (signal 2). Ces notions ont été modélisées par le groupe de R. Schwartz dans des clones T murins [1]. Parmi ces molécules de costimulation de la famille des Ig (IgSF), CD28 reste la protéine emblématique qui permet en particulier la costimulation de cellules CD4+ naïves. Les ligands de CD28, CD80 et CD86, appartiennent à la famille B7 et sont présents sur les cellules présentatrices d’antigène. Cytotoxic T-lymphocyte antigen-4 (CTLA-4, CD152) a été identifiée comme étant une molécule qui partage les mêmes ligands que CD28 mais exerce des fonctions inhibitrices. Les données actuelles convergent pour indiquer que son rôle essentiel est d’inhiber les fonctions de costimulation relayées par CD28 bien que des effets directs de CTLA-4 soient démontrés.
CTLA-4 est la première cible appartenant à la famille des molécules de cosignalisation qui soit entrée dans l’ère thérapeutique, Cette stratégie d’« inhibition des inhibiteurs » inaugure un nouveau concept thérapeutique et, de ce fait, une nouvelle classe de molécules thérapeutiques est née, utilisée en particulier en cancérologie.
jeudi 4 octobre 2018
mercredi 3 octobre 2018
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